Expositions passées
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Vernissage : jeudi, 21 janvier 2021 - 17 h à 19 h
Lieu : Galerie du Centre des arts
EXPOSITION REPORTÉE EN 2022
Causerie « Déjeun’Art » : samedi 27 mars de 9 h 30 à 11 h
Réservez votre place ou votre bulle : 739-2127
Veuillez apporter votre masque
Les corneilles, figées dans leurs mouvements, sont d’une surprenante poésie. Les ayant photographiées quotidiennement pendant plusieurs mois, l’artiste s’est retrouvée avec une collection d’images décortiquant de façon spectaculaire la gestuelle de ces oiseaux noirs. En les étudiant d’aussi près, elle n’a pu que s’émouvoir devant tant de majesté tout en réalisant que l’existence d’une simple corneille contient toute la splendeur du monde. Le temps s’est arrêté durant l’hiver et les corneilles sont devenues pour la photographe, un symbole de résistance. Par le biais de cette exposition de photographies, elle veut leur rendre hommage en dévoilant au grand jour le courage et l’élégance de ces oiseaux mal aimés.
Vernissage : jeudi, 5 novembre 2020 17 h à 19 h
Par-delà les montagnes… Étant beaucoup plus jeune, il regardait l’horizon vers l’ouest par cette fenêtre au deuxième étage de la maison familiale. Sa tour d’observation… Toutefois, elle n’était pas assez haute pour voir au-delà, et ce mystère l’incitait à la rêverie, à inventer des histoires épiques et fantastiques qu’il se racontait ou dessinait parfois à l’encre bleue à quatre petites têtes qui lui disaient continuellement : c’est quoi la suite… ou encore, raconte-nous-en une autre…Les Émotions… Du rêve, de la rêverie, du quotidien, lui-même regorgeant d’histoires dont on ne retient que les sensations fortes, s’étalent comme de la couleur sur une toile. L’ART est aussi cet étalage d’émotions par lequel nous laissons entrevoir nos mondes invisibles que fabriquent nos esprits à partir de ce que nos âmes sensibles perçoivent, peut-être, de ce qui n’est pas visible. Derrière les horizons…
Vernissage : jeudi, 10 septembre 2020 17 h à 19 h
Causerie : le jeudi 10 septembre à 16 h
Vernissage : le jeudi 10 septembre de 17 h à 19 h (5 à 7)
Veuillez apporter votre masque
Avec son exposition « C’est unreal », MARJOLAINE BOURGEOIS questionne certains aspects de notre mode d'existence actuel qui peuvent sembler insolites ou invraisemblables. Dans le cadre de ce projet, elle s’est inspirée, entre autres, de publicités de magazines ou de ventes immobilières, ainsi que du courrier indésirable trouvé dans sa boite aux lettres : ces images qui ont, pour la plupart, un aspect irréel. Pour réaliser ses œuvres, elle a exploré les techniques de l'estampe, la couture, la photographie et le transfert manuel d'images, dont certaines font référence à des objets usuels de notre quotidien. Le vernissage sera précédé d’une causerie avec l’artiste à 16 h. Elle discutera alors de sa pratique artistique qui se manifeste par la rencontre des techniques du textile et de l’estampe.
Vernissage : jeudi, 2 juillet 2020 16 h à 20 h
L’exposition que nous propose l’artiste est composée d’une série de tableaux illustrant le développement culturel et économique du Madawaska. Les tableaux représentent la période du 17e siècle jusqu’à la fin du 19e siècle, période où les technologies photographiques étaient inexistantes. Comme les colons et les Amérindiens de cette époque transmettaient l’histoire par récits, la plupart n’ayant pas appris à lire et à écrire, les tableaux sont basés sur les lettres et archives des missionnaires et du clergé ainsi que sur les rapports des militaires de passage dans notre région. La source principale d’information est le livre L’histoire du Madawaska de l’Abbé Thomas Albert publié en 1920, écrit il y a déjà cent ans. Louise s’est servie de certains passages pour imaginer, à sa façon, la vie et les aléas du début de la colonie au Madawaska.
*Afin de faciliter la distanciation physique, quatre blocs d’une heure chacun permettront aux gens de rencontrer les artistes. Nous vous invitons à réserver le bloc qui vous convient le mieux pour assister au vernissage. Il est aussi recommandé d’apporter un masque dans le cas ou la distanciation physique ne pourrait être respectée.
Vernissage : jeudi, 2 juillet 2020 16 h à 20 h
L’artiste utilise la technique du chiaroscuro (clair-obscur) pour peindre les paysages et les natures mortes qu’elle propose. Les natures mortes sont faites à partir d’objets familiers ramassés autour de la maison : plantes de maison, fleurs plantées ou bouquets reçus. Elles représentent des instants de plaisir quotidien. Les paysages sont inspirés de ses promenades, endroits calmes et paisibles qu’elle côtoie régulièrement. Sous-bois de majestueux pins où elle aime se balader, la sérénité de la forêt, le déploiement des branches contrastant la lumière du ciel; ce scintillement de lumière donne vie à la nature et à l’être, source de quiétude.
*Afin de faciliter la distanciation physique, quatre blocs d’une heure chacun permettront aux gens de rencontrer les artistes. Nous vous invitons à réserver le bloc qui vous convient le mieux pour assister au vernissage. Il est aussi recommandé d’apporter un masque dans le cas ou la distanciation physique ne pourrait être respectée.
Lieu : Galerie Hôtel de ville
Appréciée pour son travail qui se veut une observation des mœurs et des gens d’aujourd’hui, elle imagine et crée avec ses pinceaux. Patricia Lavoie exprime ce qui habite ses pensées, son cœur et son âme. C’est ainsi qu’elle invente des mondes imaginaires et nous offre des pistes de réflexions sur le monde réel.
Vernissage : jeudi, 6 février 2020 17 h à 19 h
Charline Collette utilise un métier d’art traditionnel, le "hookage" de tapis, depuis 2009. Elle utilise cette tradition typiquement féminine comme point de départ de création. Les femmes se servaient de retailles de tissus pour faire des tapis afin de couvrir les planchers froids. C’est une des multiples tâches domestiques qui intéresse l’artiste. Elle examine l’exécution et le partage des tâches domestiques, leurs valeurs et leur répétition constante.
Charline a créé plusieurs tapis à partir d’images originales. En 2015, elle troque le matériel de base, soit la laine, pour le papier. Les paramètres de la pièce dictent quel papier choisir : papier kraft, papier journal, papier aquarelle ou autres. Depuis ce temps, son travail en studio est consacré à explorer ce nouveau matériel et créer des œuvres de grande taille. Ses créations axées sur la vie quotidienne et les objets qui l’entourent, prennent vie à travers un mélange de traditionnel et de moderne.
Dans son travail, Charline examine le rôle des femmes dans la famille et la société. Elle met à l’honneur l’exécution des tâches domestiques tout en contestant le statu quo. Qui élève vos enfants ? Qui nettoie votre maison ? Qui prépare vos repas ?
Vernissage : jeudi, 12 décembre 2019 17 h à 19 h
Issu d’une famille de musiciens, Owen est inspiré par la musique mais aussi par le biomorphisme et le surréalisme. Des artistes comme Aldo Pomodoro et Anish Kapoor l’inspirent. Le premier par ses sphères aux détails d’une grande complexité qui reflètent un autre monde, le second par ses « vides » qui attirent le spectateur vers l’intérieur. Owen Munisamy ne fait pas que des peintures à huile mais aussi des aquarelles
On pourrait décrire les œuvres d’Owen comme étant métaphysiques par l’ensemble de lignes et formes irrégulières où la courbe et l’abstraction sont omniprésentes, inspirées surtout par les mécanismes des instruments à vent et les cuivres qui l’attirent. Il transforme ces instruments de musique inanimés en formes biomorphes vivantes dans un monde énigmatique. Un monde musical où il invite le spectateur à y entrer.
Vernissage : jeudi, 24 octobre 2019 17 h à 19 h
L’installation est un agencement d’objets et d’éléments indépendants les uns des autres, mais constituant un tout. C’est cette forme d’expression artistique qu’a privilégiée Serge V. Richard pour nous présenter Ergo Sum. Avec cette installation, l’artiste interprète l’importance du monde émotionnel de l’humain et la relation avec son rationnel. Il se dit inspiré par le symbole d’une émotion vécue, il explore une crise existentielle et il fait le lien entre l’individu et son monde extérieur, entre la perception via les minifenêtres du monde externe et interne.
Au cours de ses quinze premières années, l’artiste a privilégié la peinture figurative à l’acrylique et au dessin grand format. Vers l’année 2000, il s’est tourné vers l’abstraction et une approche plus intuitive à l’œuvre. En particulier, sa série « Enveloppé d’une fragilité humaine » laisse voir le style plus fluide qui est ressorti de l’exploration de sa vie intérieure. Dans les années qui ont suivi, il a adopté la photographie et la sculpture pour transmettre son message artistique.
Vernissage : jeudi, 5 septembre 2019 17 h à 19 h
Le projet d’exposition explore l’espace entre l’objet et l’écologie. Pour commencer, ce travail examine diverses facettes de la crise environnementale, la relation déconnectée avec nos environnements naturels et interroge la relation complexe entre les espèces vivantes.
Par la réalisation de pièces qui relient les matériaux et techniques de céramiques et de textiles, l’accumulation des formes à pour effort de transformer un objet en une écologie. Les métamorphoses créées par l’accumulation mettent en évidence un paradoxe, l’amour de la beauté associée à la dévastation catastrophique.
L’échelle des pièces proposées permet au spectateur d’interagir et peut-être être subsumé dans l’environnement. C’est une façon d’inviter le spectateur à s’interroger davantage sur sa relation à l’environnement où il est ; comment il est affecté par l’écologie et comment il l’affecte en retour.